La maladie de Lyme : mal diagnostiquée et mal soignée

Peu de gens se méfient de la maladie de Lyme. Ceux qui en connaissent l’existence pensent que cette affection est peu répandue puisqu’il s’agit d’une infection transmise principalement par la piqûre de tique.


La maladie de Lyme : mal diagnostiquée et mal soignée

Peu de gens se méfient de la maladie de Lyme. Ceux qui en connaissent l’existence pensent que cette affection est peu répandue puisqu’il s’agit d’une infection transmise principalement par la piqûre de tique. Ceux qui n’ont jamais été piqués ne devraient donc pas être atteints. Mais la maladie est beaucoup plus commune qu’on ne le croit.

Les symptômes qui devraient vous alerter

Il n’y a pas deux porteurs de la maladie de Lyme qui aient des symptômes identiques. D’où la difficulté de poser un diagnostic. Bernard Christophe, l’inventeur du Tic-Tox (voir ci-contre), a donc établi une liste d’une cinquantaine de symptômes qui peuvent aider à détecter la maladie si le médecin traitant ne leur a pas trouvé d’autre cause. La liste serait trop longue pour être reproduite ici mais voici les principaux :

  • Érythème migrant (pas toujours évident car relativement fugace)
  • Fièvre, transpiration, bouffées de chaleur
  • Fatigue, épuisement, manque d'endurance
  • Digestion difficile, brûlures, constipation, diarrhée
  • Picotements, engourdissements, sensations de brûlures (pieds, mains…)
  • Douleurs musculaires et crampes
  • Palpitations cardiaques, extrasystoles, irrégularités du rythme cardiaque
  • Douleurs et/ou inflammations des articulations (arthrite…)
  • Douleurs de tête (nuque, mâchoire, œil, oreille)
  • Maux de tête très importants
  • Tics ou mouvements nerveux
  • Perte de mémoire à court terme, oublis
  • Dépression, irritabilité, sautes d'humeur
  • Troubles du sommeil
  • Renforcement des effets dus à la consommation d'alcool.

Le traitement naturel

La médecine officielle n’ayant pas d’autres solutions à offrir que l’antibiothérapie (dont l’efficacité est très relative) les malades qui présentent toujours des symptômes après le traitement et dont le test sérologique est négatif sont aujourd’hui orientés, faute de mieux, vers d’autres types de thérapeutes (neurologue, psychiatre ou psychologue).

Pourtant la maladie de Lyme est bien là et elle pouvait être traitée avec un remède baptisé Tic-Tox. Ce remède composé d’extraits de propolis et de différentes huiles essentielles aux effets bactéricides (sarriette, girofle), antiseptiques et anti-inflammatoires (camomille sauvage) a été élaboré par Bernard Christophe, pharmacien spécialisé en phyto-aromathérapie, dans un premier temps pour un traitement local immédiatement après une morsure.

Cependant, ce remède est aujourd'hui interdit à la commercialisation. Pour trouver un remède équivalent, lisez l'article d'Alternative Santé sur la maladie de Lyme

À la suite de plusieurs essais, son emploi a été validé pour une utilisation par voie interne en traitement curatif.

À titre préventif

 

Si une tique s’est fixée, appliquez 1 à 2 gouttes de Tic-Tox (ou de son équivalent Alternativ'aroma) sur la tique. Au bout de deux minutes elle est morte, et on la retire avec une pince à épiler ou pince spéciale.

Appliquez alors un coton imprégné de Tic-Tox sur le point de morsure. Renouvelez trois fois sur 24 heures. Ceci permet de tuer les borrelies éventuellement transmises, les huiles essentielles ayant la faculté de passer la barrière cutanée.

À titre curatif

  • Tic-Tox : 5 gouttes dispersées dans un quart de verre d’eau, à prendre trois fois par jour au milieu ou à la fin des repas, (durant trois mois minimum).
  • La prise de Tic-Tox peut être accompagnée d’un remède diminuant l’acidose (Citrabase) qui favorise le développement des borrelies, et des deux remèdes de phytothérapie les plus employés aujourd’hui pour le traitement de cette affection :
  1. Uncaria tomentosa (la griffe du chat, employée aux USA)
  2. Cardère (employé en Allemagne).

Jusqu'à présent, selon des thérapeutes qui ont eu l’occasion d’expérimenter le traitement Tic-Tox, il y aurait des résultats de l'ordre de 99 %, les autres symptômes résiduels provenant semble-t-il uniquement de séquelles neurologiques (dues la plupart du temps au retard du diagnostic) ou d'une autre cause à déterminer (voir plus haut).

Attention : lors de la prise du traitement, les symptômes peuvent s’accroître pendant les huit premiers jours. L’aggravation peut durer jusqu’à trois semaines dans certains cas.

Ce n’est pas inquiétant, bien au contraire. Il faut noter également que dans certains cas graves (phase III et phase IV), le traitement ne permet pas de supprimer tous les symptômes dont ceux résiduels étant dus aux séquelles neurologiques (atteinte de la myéline) produites par les borrelies avant le traitement.

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