Ces médicaments qui vous bouffent les os !

Au cours des derniers mois, plusieurs alertes ont été lancées quant à l’emploi de certaines spécialités pharmaceutiques du fait de l’augmentation du risque de complications osseuses qu’il implique.

Trois classes de médicaments sont concernées :

  • Les glitazones prescrites au cours du diabète de type 2 : Avandia et Actos.

Selon une étude canadienne, la prise de ces médicaments pendant un an et plus induit des modifications importantes de la teneur minérale au niveau des hanches et de la colonne lombaire. Et induit un doublement du risque de fracture osseuse de la hanche pour les femmes de plus de 70 ans.

Jusqu’à ce jour, ces manifestations n’ont été observées que chez les femmes, probablement parce que l’ostéoporose physiologique est plus fréquente et plus précoce chez elles. Pour expliquer cette déminéralisation, les médecins suggèrent que ces médicaments entraînent des modifications de la moelle osseuse fragilisant les os.

L’Association américaine de diabétologie a conseillé de suspendre l’usage de cette classe de médicaments tant que leur innocuité n’a pas été totalement établie.

  • Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) : Eupantol, Inexium, Ini-pomp, Lanzor, Mopral, Ogast, Pariet, Zoltum.

Il s’agit d’une des classes thérapeutiques les plus vendues au monde. Ces spécialités sont prescrites essentiellement au cours du reflux gastro-œsophagien et d'acidité gastrique, le plus souvent en tant que traitement d’entretien et de prévention des récidives d’une œsophagite.

Quand elles sont prises pendant cinq ans et plus, on observe une augmentation significative du risque de fracture de la hanche ! Celui-ci est d’autant plus élevé que la durée de la prise médicamenteuse était longue et à haute dose.

Pour proposer une alternative à ces traitements, le laboratoire D. Plantes a élaboré un complément naturel  ESTOMACID ® à base d'une algue brune appelée Laminaria hyperborea et de carbonates (minéraux) de magnésium et de calcium qui agissent en synergie sur les problèmes d'acidité de l'estomac.

Il est à noter que le magnésium utilisé est du magnésium oxyde,  forme naturelle de magnésium marin.

Au contact de l’acidité du suc gastrique, l’algue brune se transforme en un gel protecteur. Le gaz carbonique produit par la présence de carbonates en milieu acide provoque le déplacement du gel vers la surface du liquide gastrique. Il forme ainsi une barrière empêchant les remontées acides dans l’œsophage. Ce gel « tampon » se dépose également sur les parois œsophagiques et stomacales pour protéger la muqueuse de l’hyperacidité. Enfin, les carbonates, grâce à leur pH très alcalin, font chuter l’acidité de l’estomac pour rétablir son équilibre acido-basique

L’action est très rapide environ 1 à 2 minutes, sur les brûlures d’estomac et sur l’acidité en croquant un ou deux comprimés.

Infos et points de vente : 
D. Plantes 
BP 158
26204 Montélimar Cedex
Tél. : 04 75 53 80 09
Email : labo.d.plantes@orange.fr
En vente sur le site : www.dplantes.com

 

  • Les biphosphonates injectables : Aredia, Bondronat, Clastoban, Pamin-ject, Ostepam, Zometa.

Principalement utilisés dans la prévention des complications osseuses au cours des cancers et des leucémies, ces produits sont impliqués dans la genèse d’une ostéonécrose de la mâchoire. Certes, ils ne sont pas prescrits isolément, mais à la suite d’une chimiothérapie et d’une corticothérapie.

Les soins dentaires sont alors de réalisation délicate, le moindre foyer infectieux (dentaire ou osseux) peut se compliquer rapidement d’une fonte définitive d’une partie de la mâchoire.

Plus grave, on ne sait pas aujourd’hui si l’arrêt du biphosphonate est capable de réduire le risque d’ostéonécrose !

Un accident du même type a été enregistré lors d’un traitement per os (par voie buccale : Actonel, Bonviva, Clastoban, Didronel, Fosamax, Lytos), ce qui laisse supposer que cette complication redoutable est très probablement un effet de classe.

Les dentistes ont reçu plusieurs courriers les avertissant d’un tel danger. Alors comment expliquer que les notices de ces spécialités ne mentionnent toujours pas les risques qu’elles font courir aux patients ? 


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