Les Français sont les seuls en Europe à consommer autant d’amalgames !

Passionné par l’approche énergétique de la dentisterie, le Dr Michel Arteil* exerce depuis près de trente ans le métier de chirurgien-dentiste holistique. Membre fondateur de l’association Odenth, il est l’auteur d’un livre paru en 2004 sur les liens entre dents et hormones. Il épingle une nouvelle fois les amalgames au mercure et défend la médecine quantique.

  • Principes de Santé : Comme tous les dentistes énergétiques, vous dénoncez le rôle des amalgames dentaires dans les pathologies chroniques. Comment expliquez-vous que l’on continue à en poser autant ?

Dr Michel Arteil : Même si certains amalgames ont été interdits, rien n’a vraiment changé. Une méta-étude vient encore de montrer l’an dernier l’intérêt de supprimer les amalgames au mercure, mais 75 % des dentistes les approuvent encore. On peut se poser des questions.

  • P. de S. : Par exemple ?

Dr M. A. : Les Français sont les seuls en Europe à consommer autant d’amalgames, devant les Polonais. Tous les autres pays européens additionnés n’arrivent pas au niveau français ! Avant, sous les amalgames, les dentistes posaient un pansement au girofle et oxyde de zinc mais depuis vingt-cinq ans cela a été abandonné. Pourtant le zinc est un protecteur du mercure et permettait d’éviter sa fuite. Mais la situation est bloquée par l’administration qui refuse de prendre en compte le rôle délétère de la fuite du mercure.

  • P. de S. Vos confrères seraient-ils ignorants ?

Dr M. A. : Au-delà de la toxicité du relargage du mercure, ils omettent la dimension quantique et oublient qu’avec des amalgames, des micro-courants – des électrons –, que l’on mesure facilement, circulent dans la bouche, puis dans tout l’organisme. Si le patient a un amalgame et une couronne, il peut se produire des micro-courants néfastes qui entraînent une déperdition ou une déformation de l’information qui engendreront des pathologies.

  • P. de S. Quels sont les matériaux que vous privilégiez pour éviter le mercure ?

Dr M. A. : Soit des composites – sans bisphénol A dans la mesure du possible –, soit des ciments pierre pour les patients très allergiques. Pour être tout à fait clair, il faut avouer que les composites ne sont pas parfaits, notamment à cause de leur fragilité. Mais au moins le patient est-il content de voir disparaître ou diminuer les symptômes de ses pathologies. En parallèle, on conseille des compléments sans effets secondaires : oligoéléments, homéopathie, plantes, huiles essentielles…

  • P. de S. Quelle est la pathologie que vous rencontrez le plus souvent ?

Dr M. A. : Tout ce qui tourne autour des problèmes parodontaux (gencives, fonte osseuse, etc.), des maux liés au stress oxydatif et aux pollutions diverses. La dentisterie holistique travaille dans ce cas prioritairement sur la restructuration des métallo-protéines qui construisent l’os. Sans métaux, la protéine ne fonctionne pas. Comme par hasard, on s’aperçoit que les patients sont carencés en zinc, en silicium, en sélénium ou en magnésium, autant de minéraux qui correspondent à la composition de ces métallo-protéines de reconstruction osseuse. On revient là à ce qu’on a publié il y a plus de vingt ans mais même si nous avons des résultats cliniques, nous avons encore du mal à faire passer cette approche qui est toujours marginalisée.

  • P. de S. Et quelles sont les pathologies où vous obtenez les meilleurs résultats ?

Dr M. A. Une fois que l’on a neutralisé tous les polluants et les micro-courants se diffusant de la bouche, en particulier vers le cerveau – qui fonctionne par micro-courants –, on obtient de bons résultats sur les problèmes d’anxiété ou de dépression. On ne peut évidemment pas traiter le problème psychologique de fond mais on atténue fortement les symptômes.
C’est encore plus patent pour les électrosensibles qui ne supportent pas les téléphones portables ou de s’approcher d’une machine à café. Une fois qu’on a déposé les amalgames et les couronnes, le problème disparaît ou on constate des améliorations notables.

  • P. de S. Où en êtes-vous dans vos réflexions sur la dentisterie ?

Dr M. A. La médecine a plus d’un siècle de retard sur la science physique. Je m’étonne toujours de la frilosité de la médecine à accepter la vision quantique. Je ne comprends­ pas que des médecins qui ont fait tant d’études ne puissent pas accepter la vision d’un univers quantique reconnu partout ailleurs. À ce stade, c’est de l’obscurantisme. L’homme n’est pas indépendant de l’univers. La dent est un cristal, en vibration avec nous-même et avec l’extérieur, donc l’univers. Lorsqu’elle est malade, ce sont des informations corporelles qui sont bloquées !

  • P. de S. Vous devez passer pour un charlatan lorsque vous parlez de médecine quantique…

Dr M. A. Oui. Mais les expériences de biologie de Bruce Lipton ou de Fritz-Albert Popp démontrent clairement que la cellule fonctionne de manière quantique. Les cellules communiquent entre elles par des photons corrélés : lorsqu’une cellule meurt, elle émet de la lumière, preuve qu’elle en était constituée. Et je ne parle pas de la recherche spatiale. Grâce à elle nous avons des outils comme le Physioscan ou l’AMSAT, des appareils de diagnostic quantique qui montrent bien que, quand on touche une dent, il y a résonance dans tout le corps.

  • P. de S. Ne pensez-vous pas que la situation est en train d’évoluer ?

Dr M. A. Absolument pas puisqu’on nous marginalise, puisqu’on nous qualifie de secte. Mais les instances médicales ne peuvent plus nier la dimension quantique. Les premiers travaux quantiques datent de 1860 ! Et c’est en 1904 qu’Einstein a émis l’hypothèse que la lumière était composée de photons. Cela fait vingt-cinq ans que je me dis que cela va bouger. Mais c’est toujours « on verra demain… » Certes, on nous laisse tranquille grâce à nos résultats, parce que nous soignons des patients qui n’étaient pas soignables, mais la Faculté ne veut pas reconnaître nos travaux. Et bien que son rôle soit d’étudier et d’enseigner tous les traitements existants, elle sabre systématiquement tout ce qui concerne l’homéopathie, la phytothérapie, l’acupuncture. Ces matières ne sont même pas enseignées en option. En dentisterie, vous pouvez choisir la planche à voile en option, pas l’homéopathie !

  • P. de S. Face au paradigme de l’evidence based medecine (la médecine fondée sur les preuves), que pouvez-vous répondre ?

Dr M. A. C’est un fait : on ne peut pas tout prouver dans notre démarche de dentisterie quantique. Mais le fait que chaque patient soit différent commence à être accepté par la médecine allopathique même si avoir un traitement spécifique nous éloigne de l’evidence based medecine. Au quotidien, cette approche commence par notre attitude, notre motivation. Cela passe d’abord par la délivrance d’un message positif au patient, qui induit ce que la médecine appelle effet placebo, qui a été prouvé, mais qui n’est autre que la manifestation d’informations quantiques. La cellule entend ce qu’on lui dit… La médecine conventionnelle veut bien prendre en compte l’effet placebo quand ça l’arrange mais ne veut pas en entendre parler quand ça ne l’arrange plus. Et puis nous avons les bons retours des patients, et c’est autant probant que motivant.

  • P. de S. Tout cela ressemble à une guerre sans fin…

Dr M. A. Je ne m’oppose en aucun cas à l’allopathie et j’ai l’honnêteté d’admettre que nous, dentistes holistiques, ne savons pas tout faire. En revanche, je revendique une réelle complémentarité. Nous avons besoin de l’intervention chirurgicale et je prescris des antibiotiques quand cela me paraît nécessaire. Mais nous avons un rôle clé à jouer face aux maladies chroniques. C’est un terrain sur lequel les médecines douces peuvent être très performantes. D’ailleurs, si la Sécurité sociale voulait vraiment faire des économies, elle s’intéresserait aux médecines douces au lieu de dérembourser les granules homéopathiques qui ne coûtent pas grand-chose ! Mais des médecins de plus en plus nombreux s’intéressent à autre chose qu’aux médicaments officiels. Prenez Bernard Debré qui se félicite de l’introduction des médecines douces dans les hôpitaux, ou le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, qui a prouvé la présence d’ondes émises par l’ADN. Je ne désespère pas de voir un jour le système basculer.

*Michel Arteil est docteur en chirurgie dentaire depuis 1975, à Toulouse, où il pratique la dentisterie énergétique depuis 1985. Agé de 62 ans, il est aujourd’hui reconnu comme un spécialiste des oligo-éléments en dentisterie. Membre fondateur de l’association Odenth, il a participé à de nombreuses conférences internationales sur les rapports entre les éléments traces et les parodontopathies.


En savoir plus
Outre l’ouvrage de Michel Arteil, « Vos dents et vos hormones communiquent », malheureusement épuisé, le site de l’association Odenth (pour odontologie énergétique thérapeutique, www.odenth.com), recense une très riche source de documentation. Vous y trouverez les références de rapports sur les amalgames dentaires, ou sur les effets des métaux lourds sur la santé et d’une centaine d’ouvrages.


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